Ni partialité ni distinction et ni haine
Traduit par: Yasmine Ismail
Citoyens :
Nous pourrons- si Dieu le veut et à l'aide de Dieu -grâce à cet esprit haut et à l'unité du peuple de la République arabe, développer notre pays, travailler à la réalisation d'une société démocratique socialiste coopérative, qui exprime l'espoir de ce peuple pour une vie libre et décente, basait sur l'égalité et aussi égalité des chances.
L'unité que je touchais aujourd'hui aux cœurs de ce peuple, exprime d'un grand espoir qu'on réussira avec l'aide de Dieu- à atteindre ses objectif, sans partialité, distinction et haine, mais une nation recueillait sa volonté pour faire avancer en son chemin pour créer une société vive en luxe,
La société rassemble par l'amour, la fraternité, qui est fondée sur la coopération réelle ; Chaque individu a le soutien de son frère et le bouclier protecteur, et chacun des fils de cette république sent qu'elle lui appartient et aussi à ses enfants et sa propriété n’est pas pour quelques personnes, car cette république s'est libérée du colonialisme, puis s'est débarrassée de l'exploitation dans tous ses sens et ses formes ; soit d'exploitation politique, sociale ou économique, Elle a continué son chemin pour rattraper ce qui lui passait, construire et soutenir sa force puis sa production, et aussi assurer à chacun de ses fils une vie libre et décente.
C'est notre société où nous marchons. cette république avec ces principes que vous et nous annoncaient et vous leviez ses slogans. Elle basait sur l'égalité et la justice sociale. Les principes que nous avons proclamés afin que la suppression de la féodalité et le contrôle du capital sur le gouvernement, l'établissement de la justice sociale, une armée nationale forte et une démocratie soient vraie et correcte.
Frères, c'était l'expression de ce que souhaite l'esprit de chaque individu des fils de la république, du sud au nord.
Nous sommes maintenant – concitoyens – mettons cela en vigueur, nous travaillons à établir une démocratie saine. Une vie démocratique saine, mais la démocratie du peuple et n'est pas les démocraties artificielles que le colonialisme nous a introduits dans le passé pour se diviser les fils de notre pays et les font en sectes et en partis ; pour être séparés et différentes, puis, ils se battent sur le pouvoir, le prestige et des puissances. Ce n'est jamais la démocratie que nous voyons, ou chacun de vous la ressentez.
Le peuple de la république veut une vie démocratique saine qui le relâche de l'exploitation politique et sociale, lorsque nous abolissions la partisanerie, quand nous écartions la distinction, la haine et les méthodes d'exploitation dans tous ses sens. Cela était – frères – le début de la démocratie saine.
Aujourd'hui, concitoyens, nous passons de notre chemin afin de construire pour nous-mêmes, notre nation et république, la démocratique qui réalise nos revendications et objectifs. La démocratie politique et sociale basée sur l'amour, la coopération, le soutien, basée sur que ce peuple a juré de s'unir et a fait ça et marchait sur la voie du pouvoir en vue de développer et construire son pays, dans la voie du nationalisme pour hisser son drapeau, dans la voie de l'unité pour que se sécuriser le monde arabe, et tous les pays arabes, et aussi marchait dans la voie de la solidarité. C’est- frères- le chemin que nous avons passé.
Aujourd'hui, après deux ans d'unité, qui exprime la grande Révolution arabe, nous avons l'impression d'avoir traversé une grande partie du chemin et le début du chemin est la plus difficile. Aujourd'hui, après, nous écartions la partisanerie, la distinction et à la haine et après que nous sentions que cette patrie appartient à tous, et nous croyions que nous devons construire une société démocratique, coopérative, socialiste. La société est libre de toute exploitation soit politique, sociale et économique.
Marcher vers l'avenir n'est pas facile, pourtant il n'est pas difficile avec la volonté que j'ai vu en vous dans tous les pays que je visitais.
Nous- avec l'aide de Dieu – malgré les complots et les menaces du colonialisme et de ses partisans, nous marcherons dans notre chemin pour établir notre pays selon notre désir et notre volonté. Nous construisons notre société pour que la société soit en luxe, la jouit de la liberté, de la justice, l'égalité, et j'ai dit auparavant : chiens aboient autour nous, mais la caravane passe. Et j'ai vu – frères – que la caravane se passe dans toute la république pour atteindre les grands objectifs sur lesquels vous vous êtes mis d'accord et nous continuerons notre chemin en dépendant de Dieu. Dieu nous accordera le succès.
