La fête des travailleurs en Ouganda
Traduit par / Reem Hany
La Fête des travailleurs est connu par la Journée internationale du Travail et le Premier Mai. C’est un jour férié officiel aux nombreux pays du monde pour la population générale, les écoles et la plupart des entreprises sont fermées. Il est généralement le 1 mai, mais est célébré par de nombreux pays à d’autres dates. Cette fête est habituellement associée au souvenir des réalisations du mouvement des travaillistes.
Au premier mai 1890, les premières célébrations de la Fête du travail ont eu lieu. La première Conférence internationale des partis socialistes en Europe, le 14 juillet 1899, à Paris, a annoncé que le 1 mai de chaque année serait « la Journée des travailleurs de l’unité internationale et de la solidarité ».
La date a été choisie en raison des événements survenus de l’autre côté de l’océan Atlantique. En 1844, la Fédération américaine du commerce et des syndicats a exigé une journée de travail de huit heures, pour prendre effet à compter du premier mai 1886. Cela a conduit à une grève générale et une émeute Haymarket à Chicago, mais la journée de travail a obtenu une approbation officielle pour être huit heures seulement.
Au fil des ans, la majorité des femmes en Ouganda ont été privé du droit de vote au secteur formel des entreprises en raison de la limitation d’un accès à un crédit abordable, de connaissances techniques en matière d’entrepreneuriat et de gestion, accès aux marchés et aux informations sur les possibilités d’affaires. Pour remédier à ce problème, le gouvernement ougandais a lancé à l’exercice 2015/2016, le Programme ougandais d’entrepreneuriat en but de permettre aux femmes ougandaises d’améliorer leurs revenus et de contribuer au développement économique.
Également, tout cela est grâce aux contributions de l’Union des femmes africaines, qui prône afin de trouver d’emplois pour les femmes rurales.
En dernier lieu, la journée des travailleurs ougandais est non seulement une commémoration, mais une occasion mondiale de triompher pour leurs droits.
