52 ans depuis le jour de massacre de (Bahr Al Baquar), en avril 1970

52 ans depuis le jour de massacre de (Bahr Al Baquar), en avril 1970

Traduit par:Hanan Anwar

Les 5 avions israéliens, McDonnell Douglas F-4 Phantom, ont attaqué une école primaire "Bahr Al Baquar" au centre Al Hussaïnia dans le gouvernorat d'Al Sharquia, plus de 10 minutes permanentes. À travers des 5 bombes (pesant 1000 livres) et deux missiles, causant la mort environ 30 enfants, les dizaines blessées d'enfant et d'ouvriers à l'école et le bâtiment d'école détruit tout à fait. Cela a eu lieu dans la matinée du mercredi 8 avril en 1970 au cours de la guerre d'usure lancée par l'Égypte contre l'entité sioniste.

Israël a revendiqué que ses avions militaires visaient aux cibles militaires, également l'école de "Bahr_Al-Baquar" était une caserne militaire secrète, et la présence des enfants à l'école n'était qu'un camouflage.

L'Égypte a dénoncé ce crime et envoyé un mémorandum officiel aux Nations Unies demandant une réunion urgente des États membres.

Le ministre égyptien des affaires étrangères a tenu une réunion englobant tous les ambassadeurs des États étrangers en Égypte. Ce crime a suscité la condamnation de l'opinion publique dans le monde entier, et il a été décrit comme une réponse sans humanité. L'URSS "Union des républiques socialistes soviétiques" a exprimé sa condamnation de ce crime, en disant : "Quand Israël avait voulu choisir le droit de réponse, il n'a pas combattu une armée, mais il s'est vengé des enfants de l'école "Bahr Al-Baquar", et l'a décrit comme "une réaction incapable".

Le cinéma égyptien a exprimé ce massacre à travers de nombreuses œuvres artistiques, notamment le film "une vie est un moment" en 1978 et le film "des contes un étranger" en 1992. Le poète Salah Jahin a aussi exprimé ce crime dans un poème intitulé "la leçon est terminée". » dans lequel il disait : –

  Quelle est votre opinion des taches rouges ?

  Ô conscience du monde, mon chéri

  C'est pour une fille égyptienne foncée

  Elle était la meilleure de mes élèves.