Gamal Abdel Nasser et la révolution sud-africaine

Gamal Abdel Nasser et la révolution sud-africaine

Traduit par: Omnia Abo Elrish

Le 10 mai 1994, Nelson Mandela a prêté serment en tant que premier président de la République d'Afrique du sud, qui a une peau noire après avoir libéré son pays d’(apartheid). Il était refusé par le père de tous les Africains, le dirigeant défunt « Gamal Abdel Nasser », disant de lui : « la discrimination entre les êtres humains dans la couleur n'est qu'une introduction à la différenciation entre eux dans les droits ». Cela était une des raisons de la rupture des relations entre l’Égypte et de gouvernement raciste d’Afrique du Sud en 1961.  Par ailleurs, l’Égypte a participé avec 28 autres pays afin d’exposer la cause de l’apartheid dans le Conseil de sécurité pour la première fois en 1962, ainsi qu'elle considérait la politique d'apartheid comme une politique menaçant la paix et la sécurité internationales.

L’Egypte s’est opposé aux bantoustans (qui sont les frontières racistes mises en place par les personnes blanches pour déterminer la résidence des populations africaines dans leurs régions tribales, qu’on l’a appelées les bantous, et les empêchait d’entrer dans les lieux où se trouvaient les blancs).

Il y avait des contacts égyptiens avec les mouvements de libération en Afrique du sud à travers leurs personnels clefs au Caire à cette époque. En effet, l’Égypte se connectait avec le peuple sud-africain par le biais des programmes radiophoniques dirigés en anglais ou en zoulou.

 

 Voici un point important qu’il convient de noter : le Congrès national africain avait appuyé fermement l’Égypte la triple agression. Par conséquent, après l’agression, Abdel Nasser a soutenu les mouvements de libération nationale (tels que le Congrès national africain et la Conférence des Unité africaine) contre l’apartheid.

 Que Dieu fasse miséricorde à des âmes dont les corps ont disparu et nous laissant une trace.