Une soirée de poésie tenue dans le cadre d'une série d'événements commémorant le soixante-dixième anniversaire de la Révolution du 23 juillet et coïncidant avec le quatrième anniversaire de la création du Mouvement Nasser pour la jeunesse

Une soirée de poésie tenue dans le cadre d'une série d'événements commémorant le soixante-dixième anniversaire de la Révolution du 23 juillet et coïncidant avec le quatrième anniversaire de la création du Mouvement Nasser pour la jeunesse

Le Mouvement Nasser pour la jeunesse a organisé, hier, vendredi 22 juillet, une soirée de poésie. Elle coïncidait les célébrations des peuples libres à l’occasion du soixante-dixième anniversaire de la Révolution du 23 juillet d’une part et le quatrième anniversaire de la fondation du Mouvement Nasser pour la jeunesse d’autre part. On a témoigné de la présence d’un groupe de jeunes leaders du monde arabe et d’Afrique du Nord : d’Irak, du Yémen, du Liban, de Palestine, de Tunisie, de Libye, de Jordanie et d’Égypte, entre autres : le fondateur et coordinateur général du Mouvement Nasser pour la jeunesse, Hassan Ghazali, le poète Omar Al-Nahmi et le poète Fakhr Al-Azab, et en tant que modérateur de la session, M. Muhammad Al-Hakimi,

Au début, « Omar Al-Nahmi » a commencé en exposant son poème intitulé « Je suis le nationaliste ». Voici un extrait du poème :
« Je suis le nationaliste, disciple du leader Gamal
Gamal m’a appris la lutte dès mon enfance
Gamal m’a appris la force…
Pour que je surmonte la colère
Il m’a appris la force… pour que je récupère mes droits pillés par les violeurs
Il m’a appris la force… car un terrifié n'arrive jamais à la gloire 
Gamal m’a appris… à me lever, à ne pas me mettre à genoux
Gamal m’a appris que les ignorants ne sont pas capables de la justice

Dans un contexte connexe, le grand poète « Fakhr Al-Azab » a continué en exposant aux invités son poème intitulé « Notre Mère au niveau de l’arabité ». Il incombe de signaler que le poète l’a écrit en sympathie avec l’Égypte lors des événements violents qui ont eu lieu en 2013. Voici un extrait du poème :
«  Je ne la console pas… et n’essuie pas les larmes de sa joue 
Si elle a pleuré un instant… ou si elle s’est cassée comme les grands
Je ne le mérite pas.. Je suis son premier-né 
Mais elle est notre mère au niveau l'arabité… au niveau des sacrifices… la mère de l’existence
Voilà, ce qu’est l’Égypte »

D’ailleurs, Hassan Ghazali, fondateur du Mouvement Nasser pour la jeunesse, a salué, heureusement, la participation de dirigeants de la jeunesse de tous les pays arabes afin de raviver cette mémoire de valeur particulier pour les peuples libres qui coïncide avec le quatrième anniversaire de la fondation du Mouvement Nasser pour la jeunesse. Il a souligné qu’il s’agit d’un mouvement de jeunesse international indépendant, lancé en faveur des principes d’unité, de solidarité humaine et des principes de non-alignement afin de consolider la diffusion des valeurs de justice et de paix sur terre.

Enfin, Ghazali a conclu son discours en jetant la lumière sur le fait que le Mouvement Nasser pour la jeunesse, lancé le 23 juillet 2019, étend ses branches en tant que modèle de développement dans environ 65 pays de différents continents du monde ; à titre d’exemples : l’Asie, l’Afrique et l’Amérique latine. Il a affirmé également que le Mouvement vise à être une plate-forme inclusive pour les jeunes les plus influents du monde, à leur fournir des chances pour communiquer avec des experts et des décideurs locaux, régionaux et internationaux, afin de mettre en œuvre les initiatives lancées par les Nations Unies, le Mouvement des non-alignés, l'Organisation de solidarité des peuples afro-asiatiques et l’Union africaine, surtout dans les domaines relatifs à la jeunesse, aux femmes, au climat, à l’éducation, à la paix et à la sécurité, à la gouvernance et à l’entrepreneuriat.