« Notre climat » à la clôture des sessions dialogues de la bourse Nasser pour le leadership international
-Traduit par : Reem Hany
La Bourse Nasser pour le leadership International qui tenue sous l’égide du président de la République, président Abdel Fattah Al-Sisi, dans sa quatrième édition, a conclu des sessions par une session intitulée « Notre climat » avec la participation de l'Ambassadeur adjoint des Émirats arabes unis, Conseiller Saleh Al-Saadi, et le doyen de l’École supérieure d’études africaines de l’Université du Caire, Dr Attia Al-Tantawi, et dirigé par l’un des diplômés de la bourse Nasser pour le leadership international, de la troisième promotion, Amr Ramadan, en présence de la chef de l’administration centrale pour le développement de la jeunesse, Nagwa Salah, le coordinateur général de la bourse Nasser pour le leadership international, Hassan Ghazali, et un groupe de dirigeants du ministère de la Jeunesse et des Sports, des professionnels des médias et des journalistes.
Amr Ramadan, au début de sa parole, a affirmé que le climat est lié à tous les aspects de la vie, souhaitant que les pays développés, qui sont à l’origine du changement climatique, respectent leurs engagements envers les autres pays, et il a abordé l’importance de la sensibilisation des peuples à l’environnement et à sa préservation.
Le conseiller Saleh Al-Saadi, ambassadeur adjoint des Émirats arabes unis, a bienvenue aux participants à la bourse, exprimant son plaisir d’être présent dans cette importante bourse, qui a le parrainage par le président Abdel Fattah Al-Sisi, président de la République, et il a salué le rôle de l’Égypte et ses efforts déployés au domaine du changement climatique, et son accueil, l’année dernière, de la conférence sur le climat qui a réalisé un grand succès, indiquant que la préservation de l’environnement est une responsabilité sociétale partagée, car le changement climatique affecte tous peuples du monde. Il a également abordé les efforts de l’Égypte avec les Émirats arabes unis dans le cadre de la coopération et de la participation à la Conférence sur le climat, qui se tiendra aux Émirats arabes unis en novembre 2023.
Al-Saadi, dans son discours, a souligné que le choix des Émirats arabes unis pour accueillir la conférence en novembre de cette année 2023 est la culmination des efforts de cet État, dans le cadre de l’action environnementale, de la protection de l’environnement et du domaine de la durabilité et de ses antécédents dans la préservation de l’environnement. Les Émirats arabes unis ont fourni un modèle au monde aux efforts de lutte contre le changement climatique, en particulier au cours de l’année actuelle, qui est l’année de la durabilité à cet État avec la participation active des femmes, des jeunes et de la société civile pour progresser dans le domaine des objectifs mondiaux et de la réalisation d’un développement économique et social durable.
Le doyen de l’École supérieure d’études africaines de l’Université du Caire, Dr Attia Al-Tantawy, a remercié le ministère de la Jeunesse et des Sports pour ses grands efforts en invitant les jeunes de l’Afrique, le continent bien-aimé, à être présente en Égypte dans le cadre de la bourse du dirigeant Gamal Abdel Nasser, c’est au début de son discours aux participants à la Bourse Nasser pour le leadership international dans sa quatrième édition. Il a souligné que le climat est l’un des éléments de l’environnement, qui dans son sens le plus simple signifie l’environnement dans lequel vit une personne, qui l’affecte et en est affecté, car le climat a des influences importantes, qui préoccupent désormais le monde entier. Le climat est la source de l’eau que nous buvons et de la nourriture que nous mangeons, et affecte le type de l’habitation qui est construite par l’homme, qui doit être proportionnée au climat. Il contrôle également la santé humaine, et la capacité de l’homme à donner et à travailler, où dans le cas de l’augmentation de la température et de l’humidité, alors la capacité humaine à donner et à travailler varie.
Il a passé en revue, lors de son discours, la définition du changement climatique et la manière dont les changements climatiques se produisent au fil des années, expliquant que la température au XXe siècle a augmenté au même taux qu’elle a fait au cours des deux premières décennies du XXIe siècle, ce qui a fait le monde se soulever et se soucier du climat en raison de la gravité de cette augmentation et des changements qui se produisent, et « Tantawi » a montré les pourcentages dans lesquels certains pays contribuent aux polluants dans le monde, notant que l’Égypte n’y contribue que pour un demi pour cent, et a expliqué les problèmes sanitaires et environnementaux associés au changement climatique, et les effets sur l’homme et sa santé, sur l’agriculture, le pâturage et la pêche, et sur l’industrie, d’autant plus que la plupart des industries ont des exigences climatiques spécifiques.
Al-Tantawi, quand il a parlé, a fait l’éloge de la conférence sur le climat que l’Égypte a accueilli l’année dernière, et des gains obtenus grâce à elle, où la conférence a réussi à réaliser beaucoup de choses, y compris unir des pays africains sur une opinion concernant la question climatique, encourager des pays à l’économie verte et la tendance à s’appuyer sur une énergie propre sans polluants. Soulignant que l’Égypte dépend désormais d’environ 40 % de l’énergie propre, étendant ses salutations au président Abdel Fattah El-Sisi, président de la République, pour ses grands efforts au domaine du climat, et pour le succès de la conférence, expliquant que le président de la République et le ministre des Affaires étrangères ont travaillé en plein essor pour rechercher des droits gaspillés du continent africain dans le domaine du climat, d’autant plus que nous, Africains et le monde arabe, sommes touchés par le phénomène, mais nous ne sommes pas ceux qui en sont la cause, affirmant que l’Égypte a fait son devoir envers l’Afrique et ce qu'elle doit, d’autant plus que l’Égypte préside l’Union africaine et qu’elle travaille dur pour aider le continent africain à s’adapter dans le domaine du climat et d’autres domaines, il a conclu son discours par le dicton « Vive l’Égypte. Vive L’Afrique… Vive les Émirats… Vive le monde arabe. »
Pour sa part, Hassan Ghazali, coordinateur général de la bourse Nasser pour le leadership international, a expliqué que la bourse Nasser pour le leadership international est l’un des mécanismes exécutifs de mise en œuvre des recommandations du président Abdel Fattah El-Sisi, président de la République, pour soutenir des jeunes Africaines, et leur permettre de créer une vision globale et centrale liée aux questions mondiales et aux plans de développement durable, et soutenir les opportunités de promouvoir le rôle égyptien à l’échelle mondiale. La bourse est également dans le cadre de la mise en œuvre des visions égyptiennes pour les objectifs du développement durable 2030 et l’agenda 2063 de l’Afrique, et la coopération Sud-Sud, expliquant que la bourse vise à autonomiser les jeunes et à donner l’opportunité aux acteurs des différents pays du monde de s’intégrer et de former des partenariats dans différents domaines, pas seulement au niveau continental, mais mondial, entre les pays du Sud-Sud, et renforcer l’autonomie des pays en développement par échange des expériences et en renforçant leur capacité créative afin de trouver des solutions à leurs problèmes de développement conformément à leurs aspirations, valeurs et besoins spécifiques.
Il est à noter que les activités de la « Bourse Nasser pour le leadership international » à sa quatrième édition, organisée par le ministère de la Jeunesse et des Sports sous l’égide du président Abdel Fattah El-Sissi, président de la République, la presse et médiatique de la Presse Nationale et de l’Autorité Nationale des Médias, avec la participation de 150 jeunes leaders avec diverses spécialisations exécutives et des jeunes actifs et influents dans la société civile au niveau des pays du monde.