Abd-Alnasser lors de sa première rencontre avec le leader indien Nehru

Abd-Alnasser lors de son première rencontre avec le leader indien Nehru
Le président Gamal Abd Alnasser s’est réuni avec le leader Nehru pour la première fois le 15 Février comme ce jour ci en 1955. A ce moment, Abdel Nasser avait 37 ans (né le 15 Janvier 1918) au tant que Nehru avait 64 ans (né le 14 Février 1889) et il était le premier ministre de son pays depuis son indépendance le 15 Aout 1947. « Malgré la différence d’âge, chacun d’eux a laissé à l’autre une marque puissante et profonde » Selon le livre, AbdelNasser et le monde, de Mohamed Hassanein Heikal. Et d’ajouter, le lien existant entre eux a présenté dans sa vitesse, sa profondeur et sa puissance une admiration a première vue. Comme cela arrive souvent, ce lien a été réalisé entre deux personnes totalement différentes. Abdel Nasser était d’une grande taille mais un homme pratique tandis que Nehru était maigre et mince mais un homme de pensée.
De plus, Heikal contemple la personnalité de Nehru en soulignant qu’il était affecté par les idées islamistes, qu’il était hindou né à la ville islamiste d’Ahmed Abade, qu’il avait intellectuellement grandi en étant étroitement lié à l’Islam et qu’il avait beaucoup parle des philosophes islamistes en admirant l’histoire islamique.
Peut-être sa relation avec l’histoire lui a donné le don d’une vue profonde et large. De plus, il a le sens capable à comprendre l’unité du monde et de l’histoire. Outre, quand il fait face aux problèmes, il rebondira en s’adressant à l’histoire pour y chercher une explication dans ses racines. Le leader yougoslave Titiou a rigole en indiquant qu’avec Nehru tout commence avant Jésus Christ, a ajouté Heikal.
Heikal a affirméqu’AbdelNasser avait trouvé dans Nehru l’homme qui pouvait penser et étudiait tous les parties du problème en le discutant. De plus, il déduisait logiquement ses racines, ses origines et ses effets. Outre, la solution qui le convenait. Cette part présentait le raisonnement de Nehru qui avait fascine AbdelNasser. De sa part, Nehru avait ressenti à l’égard d’Abdel Nasser le sentiment d’un père envers de son fils et comme d’habitude avec la plupart des pères, plusieurs choses lui avaient impressionnes et lui avait fait peur en même temps. Il avait admire le courage d’Abdel Nasser mais il en avait été terrifié. Il était fier de la capacité d’Abdel Nasser à travailler mais l’enviait. Il en avait peur en même temps comme un père penseur et cultive et son fils se dirigeait vers le loisir de l’escalade des montagnes.
Dans ce cadre, leur rencontre s’est intervenu. Heikal a mentionné que la visite du Nehru avait duré trois jours en affirmant qu’il allait au mieux, Abdel Nasser avait décidé de préciser un jour entier pour parler avec lui loin de toutes les formalités. Pour ceci, ils avaient organisé un jour sur un bateau au Nil qui découlait de l’hôtelSimeramis jusqu’aux Qanatir el Qahiriya et l’aller- retour avait duré quatre heures. Ils avaient passé le temps à parler à l’exception de l’heure de déjeuner ou Abdel Nasser avait immédiatement voulu de poursuivre les pourparlers. Mais, Nehru avait refusé : « vous devez nous donner le temps à reposer ». Il a reste dans sa chaise en contemplant les deux rives du Nil, ensuite il avait dormi cinq minutes. Apres, il se levait, prêt à continuer. Abdel Nasser avait commencé les pourparlers le matin en indiquant : « on a parlé hier officiellement mais aujourd’hui je voudrais que vous me parliez de la planification. » Heikal a mentionné : « il ne connait assez de la planification, puisqu’il n’a pas d’expertise précédente dans la planification du futur de la nation. Mais, Abdel Nasser a pensé que le leader indien a acquis cette expertise. Alors, il a exactement questionné Nehru : « Comment planifions-nous. ».
Et d’ajouter, « ils ont passé toute la matinée en cherchant dans la planification au tant que le navire navigue sur le Nil en passant par les anciens villages puisque le mot ‘’planification’’ était inconnu dans ce monde. Lors de sa conversation, Nehru a indiqué à Abdel Nasser : « je souhaitais abandonner totalement la politique et se concentrer sur la planification puisque c’est le domaine ou la personne possède l’opportunité pour réaliser une chose spécifique. » Après cette parole, Nehru a retourné à l’une de ses épisodes de la répugnance intellectuelle dont il se caractérise. Ensuite, il a poursuit : « malgré ceci, je doute que la capacité de n’importe quelle personne puisse réaliser tous les choses qu’il veut. »
Heikal a commenté que Nehru donnait toujours un avis puis il commençait à y penser puis il le redit et y recule, peut-être, ceci parce qu’il pense plus qu’il faut.
Et de poursuivre, « la conversation s’est change l’après-midi aux affaires internationales. Nehru était soucieux que les pays du monde considèrent la Chine communiste en soulignant que la Chine est comme les montagnes d’Himalaya. Personne ne peut dire que l’Himalaya n’existe pas en Asie. De plus, si vous ignorez son existence, alors vous négligez avant tout une vérité actuelle et vous vous privez de savoir ce qui réside derrière elle. Outre, il était intéressé de l’atome en soulignant qu’elle signifie la puissance dans la guerre et dans la paix, soit à travers la gloire ou à travers l’augmentation de la production. »
Les questions qui attirent son intérêt, ne sont pas petites mais il préfère dessiner des grands tableaux pour les énormes sujets, a commenté Heikal.
Leur conversation a continué toute la journée ou le jeune révolutionnaire arabe entend de tout son cœur au penseur expérimentateur hindou. La conversation se poursuit entre le premier avec ses idées clairs et le deuxième avec son moyen et sa méthode hésitante avec des réserves intellectuelles. En dépit de ceci, Nehru a affirmé à Abdel Nasser lors de ce jour : « quand on passe à parler, j’ai devenu plus convaincu que nous possédons les mêmes idées. »