Expérience des jeunes et croissance… des défis aux opportunités ont été discutés sur la table de la bourse Nasser
-Traduit par : Arwa Ali
La quatrième édition de la bourse Nasser pour le leadership international s’est déroulée du 1ᵉʳ au 15 juin, sous les auspices du président Abdel Fattah al-Sissi, président de la République. Cette édition avait pour thème « Les jeunes des pays non-alignés, la coopération Sud-Sud » et a réuni 150 jeunes leaders du monde entier.
En présence de Hassan Ghazaly, coordinateur général de la bourse Nasser pour le leadership international, ainsi que de dirigeants du ministère de la Jeunesse, de journalistes et de professionnels des médias, les événements du dixième jour ont commencé par une session de dialogue intitulée « Expérience des jeunes et croissance : des défis aux opportunités », modérée par Ahmed El-Sabagh, représentant régional de la gouvernance, de la paix et de la sécurité pour la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord au sein du groupe principal des jeunes des Nations unies, et le Dr. Sameh Kamel, président du groupe principal des Nations unies pour l’enfance et la jeunesse.
De son côté, Ahmed El-Sabagh, représentant régional de la gouvernance, de la paix et de la sécurité pour la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord au sein du groupe principal des jeunes des Nations unies, a abordé la stratégie pour atteindre l’Agenda de développement durable qui consiste à assurer une distribution équitable des ressources sans nuire aux générations futures. Il a également évoqué le terme « négociations », défini comme « le fait de parvenir à un accord entre deux parties, sans que l’une d’entre elles ait dû se soumettre complètement à l’autre », soulignant que les négociations individuelles et celles entre les pays. Il a affirmé que la plupart des problèmes, auxquels l’Afrique est confrontée, était que les pays africains se soumettaient plutôt que de s’unir, particulièrement, en raison des identités culturelles propres de chaque région de l’Afrique, alors que la solution à ces problèmes n’est pas même pour toute l’Afrique. Il a conseillé aux jeunes « si vous voulez changer quelque chose dans la société, il faut d’abord varier vous-même.
